Il a réhabilité la décoration, fêté la couleur, promu le recyclage. De l’architecture à la mode, le Milanais, qui vient de mourir à 87 ans, a accompli un immense travail, nourri de toutes les cultures du monde.
« Je ne suis pas un architecte, je suis un dragon », affirmait Alessandro Mendini, qui vient de disparaître à 87 ans. Corps d’architecte, tête de designer, mains d’artisan, queue de poète, jambes de graphiste et pieds d’artiste, ainsi se présentait l’un des plus singuliers créateurs italiens de la fin du XXe siècle. D’une cafetière à un musée, d’un tire-bouchons à un théâtre, il a construit un monde joyeux et coloré, synthèse de toutes les cultures du monde.
Né prématuré à Milan un jour d’été 1931, Alessandro Mendini fait l’expérience du design dès ses premières heures : on l’installe avec sa sœur jumelle sur un moelleux fauteuil multicolore. Conscient dès lors de la …
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Vignette de l’article : Alessandro Mendini et son fauteuil Proust | Crédits photo Christian Kettiger
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